sarugaku

nom masculin invariable

  • Spectacles de foire (acrobates, dresseurs d'animaux, montreurs de marionnettes, saltimbanques de toutes sortes), les sarugaku évoluèrent sur divers modes : récits comiques ou édifiants de moines s'accompagnant sur une sorte de luth (biwa), qui s'inspiraient des monogatori et des joruri ; montreurs de marionnettes ; danses des noronji « maîtres en conjurations » et danses agrestes (dengaku) dont dérive la chorégraphie du nô ; farces dont dérivent les kyôges, et qui, vers 1350, donnèrent naissance, entre autres formes théâtrales, au suragaku no nô, bientôt nommé absolument nô.